Book "Behind the mask"
“Historiquement, l’escrime est un art exclusivement pratiqué par la noblesse, tout simplement parce que sa pratique nécessite des épées de bonne qualité, et qu’au moyen-âge, le métal est un matériau de luxe.
Les règles de cet art, devenu un sport Olympique en 1896, ont considérablement évoluées depuis. Aujourd’hui, c’est un sport complet nécessitant des qualités physiques, techniques et mentales.
Cependant, malgré sa mondialisation, il aura fallu attendre le courant du 20e siècle pour que l’escrime s’ouvre enfin à des classes sociales plus modestes ainsi qu’à une population plus diversifiée en France.
Après la première guerre mondiale, c’est l’abandon progressif des cours individuels cédant la place aux salles d’arme, qui a contribué à la popularisation auprès d’un public venant de tous horizons sociaux.
Néanmoins, en dépit de ces avancées, les femmes ont dû attendre 2008 pour que toutes les armes soient représentées aux Jeux Olympiques, alors que c’est le cas dès 1920 pour les hommes.
Aujourd’hui, en France, les escrimeurs sont issus de toutes les origines et catégories sociales.
À travers cette série photo, c’est à la diversité de mes coéquipiers et frères d’armes que je rends hommage.
Car le sport abroge les différences, et l’escrime ne fait pas exception à la règle.”
23x30 cm
84 pages
Décembre 2020
“Historiquement, l’escrime est un art exclusivement pratiqué par la noblesse, tout simplement parce que sa pratique nécessite des épées de bonne qualité, et qu’au moyen-âge, le métal est un matériau de luxe.
Les règles de cet art, devenu un sport Olympique en 1896, ont considérablement évoluées depuis. Aujourd’hui, c’est un sport complet nécessitant des qualités physiques, techniques et mentales.
Cependant, malgré sa mondialisation, il aura fallu attendre le courant du 20e siècle pour que l’escrime s’ouvre enfin à des classes sociales plus modestes ainsi qu’à une population plus diversifiée en France.
Après la première guerre mondiale, c’est l’abandon progressif des cours individuels cédant la place aux salles d’arme, qui a contribué à la popularisation auprès d’un public venant de tous horizons sociaux.
Néanmoins, en dépit de ces avancées, les femmes ont dû attendre 2008 pour que toutes les armes soient représentées aux Jeux Olympiques, alors que c’est le cas dès 1920 pour les hommes.
Aujourd’hui, en France, les escrimeurs sont issus de toutes les origines et catégories sociales.
À travers cette série photo, c’est à la diversité de mes coéquipiers et frères d’armes que je rends hommage.
Car le sport abroge les différences, et l’escrime ne fait pas exception à la règle.”
23x30 cm
84 pages
Décembre 2020
“Historiquement, l’escrime est un art exclusivement pratiqué par la noblesse, tout simplement parce que sa pratique nécessite des épées de bonne qualité, et qu’au moyen-âge, le métal est un matériau de luxe.
Les règles de cet art, devenu un sport Olympique en 1896, ont considérablement évoluées depuis. Aujourd’hui, c’est un sport complet nécessitant des qualités physiques, techniques et mentales.
Cependant, malgré sa mondialisation, il aura fallu attendre le courant du 20e siècle pour que l’escrime s’ouvre enfin à des classes sociales plus modestes ainsi qu’à une population plus diversifiée en France.
Après la première guerre mondiale, c’est l’abandon progressif des cours individuels cédant la place aux salles d’arme, qui a contribué à la popularisation auprès d’un public venant de tous horizons sociaux.
Néanmoins, en dépit de ces avancées, les femmes ont dû attendre 2008 pour que toutes les armes soient représentées aux Jeux Olympiques, alors que c’est le cas dès 1920 pour les hommes.
Aujourd’hui, en France, les escrimeurs sont issus de toutes les origines et catégories sociales.
À travers cette série photo, c’est à la diversité de mes coéquipiers et frères d’armes que je rends hommage.
Car le sport abroge les différences, et l’escrime ne fait pas exception à la règle.”
23x30 cm
84 pages
Décembre 2020